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Les démarches à faire lors d’une grossesse

Ça y est, la bonne nouvelle est tombée, vous êtes enceinte. Même si vous êtes sur votre petit nuage, les premières questions commencent à affluer. Quand faut-il l’annoncer à son employeur ? Quand et comment s’inscrire à la maternité ? Quel est le suivi médical approprié ? Etc.

Nous répondons à toutes vos questions relatives aux démarches à faire pendant une grossesse afin de profiter de ce moment en toute sérénité. 

Les démarches à faire lors d’une grossesse : déclarer sa grossesse

Dans un premier temps, vous devez déclarer votre grossesse à la Caisse d’Assurance Maladie et à la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) pour sa prise en charge financière. Désormais, cette démarche est simplifiée puisque c’est votre médecin ou sage-femme qui télétransmettra votre déclaration via votre carte vitale, après la première échographie (à 12 semaines d’aménorrhée). 

Il est toujours possible de la faire par courrier en remplissant le formulaire remis par votre médecin traitant ou votre gynécologue et à envoyer avant le troisième mois.

Les démarches à faire lors d’une grossesse : s’inscrire à la maternité

L’inscription à la maternité doit se faire au plus tôt, notamment si vous habitez dans une grande ville ou dans une zone de désert médical. Vous pouvez vous inscrire dans plusieurs maternités pour assister à une réunion d’information et faire votre choix en connaissance de cause.

Enfin, si votre préférence va à une maternité dans le privé, nous vous conseillons de demander un devis comprenant les dépassements d’honoraires de l’obstétricien, de l’anesthésiste et de l’échographiste, ainsi que les tarifs de l’hébergement. Enfin, contactez votre mutuelle pour savoir ce qu’elle prend en charge.

Les démarches à faire lors d’une grossesse : se faire suivre par un professionnel de santé

Les consultations prénatales auprès d’un professionnel (médecin traitant, gynécologue, sage-femme) sont obligatoires et remboursées à 100% par l’Assurance Maladie. Elles sont au nombre de sept. La première consultation doit être réalisée avant la fin du 3ème mois, les suivantes ont lieu chaque mois, puis la dernière consultation après l’accouchement.

Généralement, les cours de préparation à la naissance commencent dès le 6ème mois (variable selon la maternité). 

Les démarches à faire lors d’une grossesse : faire reconnaitre le bébé par le père

Cette démarche ne concerne pas les couples mariés, puisque le mari est par défaut considéré comme le père de l’enfant à naître. Pour faire reconnaitre le bébé, le père doit se rendre à la mairie, muni de sa pièce d’identité, pour déclarer qu’il va devenir père. 

Les démarches à faire lors d’une grossesse : annoncer la grossesse à son employeur

Il est recommandé d’attendre la première échographie avant d’annoncer sa grossesse à son employeur, car celle-ci la date la grossesse et vous permet de calculer le début et la fin de votre congé maternité.

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Les évènements de la vie

Comment préparer les obsèques de son conjoint

Le décès d’un conjoint laisse un vide familial immense. Lorsque les enfants sont jeunes, le deuil devient une véritable épreuve familiale, en plus d’être une épreuve personnelle. La douleur de la perte de son conjoint se mêle aux obligations de parent, et la difficulté de rassurer sans éluder la réalité oblige le parent survivant à beaucoup de lucidité et d’écoute.

Si les enfants sont adultes, chacun va tenter de mettre son chagrin de côté pour prendre soin des autres. L’entraide, le soutien et l’écoute deviennent essentiels, guidant les personnes endeuillées vers le partage des premières démarches liées au décès du conjoint. Après la déclaration du décès en mairie et l’obtention du certificat de décès, la famille du conjoint endeuillé est un soutien précieux dans l’organisation des funérailles.

Les obsèques de son conjoint avec un contrat d’assurance obsèques

Lorsqu’il était en vie, le défunt qui a signé un contrat d’assurance obsèques, a exprimé ses volontés sur l’organisation de ses funérailles et prévu un capital qui couvre les frais engagés ; protégeant ainsi son conjoint et sa famille d’éventuels soucis financiers.

Le contrat d’assurance obsèques engage une entreprise de pompes funèbres à organiser les obsèques du défunt en respectant toutes ses volontés: 

  • type de cérémonie (religieuse ou civile),
  • église, temple ou mosquée, 
  • fleurs, 
  • crémation ou inhumation,
  • columbarium ou du cimetière (concession).

Le contrat d’assurance obsèques prévoit un capital qui couvre les frais engagés pour les obsèques, protégeant ainsi le conjoint et la famille du défunt d’éventuels problèmes financiers.

Les obsèques de son conjoint sans contrat d’assurance décès (ou obsèques)

Rappel, le contrat d’assurance décès diffère du contrat d’assurance obsèques : le capital constitué du contrat d’assurance décès n’est pas obligatoirement destiné au règlement des frais d’obsèques alors que c’est l’objectif du contrat d’assurance obsèques. 

Sans contrat d’assurance (décès ou obsèques), le conjoint et les enfants préparent l’organisation des obsèques du défunt, étape par étape, en se posant la question de savoir ce que le défunt aurait voulu :

  • présentation du corps en chambre funéraire (précédée des soins de conservation du corps),
  • crémation ou inhumation, 
  • dispersion des cendres,
  • cérémonie religieuse ou civile,
  • rédaction et lecture de l’éloge funèbre, 
  • choix des fleurs, de la musique, des textes, etc.

Dans cette situation, le choix d’une entreprise de pompes funèbres est aussi du ressort du conjoint du défunt.

Cas particulier du testament crématiste

Afin de mettre fin aux réticences du conjoint et de la famille, le défunt rédige un « testament crématiste » : manuscrit (sans rature), daté et signé, sans ou avec l’intervention d’un notaire. 

Ce testament olographe peut être confié au conjoint, parent ou voisin, ou rangé avec le contrat d’assurance obsèques ou d’assurance décès. 

Recevoir des aides financières pour préparer les obsèques de son conjoint

La personne endeuillée, en fonction du montant de ses revenus et de son statut social, peut recevoir des aides financières pour l’aider à prendre en charge les frais de préparation des obsèques de son conjoint :

  • Sécurité Sociale (capital décès),
  • commune : prise en charge des frais d’obsèques,
  • CAF : Allocation de Soutien Familial (ASF),
  • CNAV (Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse) : remboursement des frais d’obsèques,
  • contrat d’assurance décès,
  • contrat d’assurance obsèques.

Attention, ces organismes ne se manifestent que si le conjoint ou la famille adresse une demande spécifique, justifiée par un acte de décès.

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Prendre soin de sa peau avec des produits naturels

Des masques aux gommages, en passant par une grande variété de crèmes, le soin de votre peau peut revêtir plusieurs formes. Que ce soit pour le visage ou le reste du corps, de plus en plus de recettes et d’ingrédients sont encensés par les consommateurs. Évidemment, le milieu de la cosmétique a bien compris les nouvelles attentes de ses clients, et cela se ressent dans les boutiques spécialistes de la beauté. 

Pour nettoyer et hydrater votre peau, il n’est donc plus nécessaire de casser votre tirelire pour vous rendre en institut, puisque quelques produits naturels suffisent pour prendre soin de vous à moindre prix. De plus, certains ingrédients insoupçonnés ont de multiples bienfaits, au point de faire aujourd’hui partie des routines essentielles de tous les amateurs de cosmétiques bio. 

Vous voulez en savoir plus ? Faisons le point ensemble sur les meilleurs produits naturels pour la peau.

Prendre soin de sa peau : les étapes indispensables

Avoir les bons produits est une chose, mais pour que leur efficacité soit avérée, il est essentiel de savoir comment les utiliser. De manière générale, pour que votre peau reste en bonne santé, vous devez impérativement vous en occuper quotidiennement. Cela passe notamment par :

  • un nettoyage en douceur matin et soir ;
  • une hydratation suffisante, matin et soir également, par le biais d’une crème adaptée à votre type de peau ;
  • un démaquillage minutieux avant de dormir ;
  • un nettoyage en profondeur 1 à 2 fois par semaine, par le biais de gommages ou masques naturels.

Les produits naturels pour prendre soin de sa peau

Huiles essentielles, huiles végétales, eaux florales et autres lotions en tout genre, les marques rivalisent d’idées pour vous aider à prendre soin de votre peau.  Sur ce créneau, il faut notamment savoir que certains ingrédients ont de meilleurs effets que d’autres, notamment grâce à leurs propriétés exfoliantes ou hydratantes.

À titre d’exemple, en ce qui concerne le gommage, mieux vaut favoriser des produits naturels à base d’avoine ou d’amande. Côté masque, pour avoir une peau douce et lisse, l’aloe vera et le gingembre restent évidemment des incontournables.

Enfin, pour prévenir le vieillissement de la peau, l’huile de chanvre est aussi un allié de choix, notamment parce qu’elle nourrit les cellules en profondeur et hydrate bien mieux que de nombreux ingrédients. À noter d’ailleurs que ce produit est particulièrement conseillé aux peaux sensibles.

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Les enfants

Comment choisir la trottinette pour son enfant ?

Il existe différents types de trottinettes pour enfants, que celle-ci soit à 3 roues, évolutive, pliable, ou électrique. Pour choisir le bon modèle parmi toutes ces possibilités, les parents doivent donc passer en revue différents critères, d’autant plus que les besoins ne sont pas les mêmes en fonction de l’âge et de l’expérience de l’enfant. Même si nos chères petites têtes blondes adorent la trottinette, le choix du produit est essentiel pour leur sécurité.

Pour vous aider à acheter la trottinette la plus adaptée à votre enfant, voyons ensemble quelques critères incontournables.

Choisir une trottinette en fonction de l’âge de l’enfant

Sur le marché des trottinettes pour enfants, tous les modèles correspondent à un âge précis. Pour que cette dernière puisse remplir son rôle psychomoteur, il convient donc d’opter pour un produit adapté. Celui-ci doit non seulement être facile à manipuler et doté d’un plateau assez large, mais en plus, il peut s’avérer judicieux qu’il soit équipé de 3 roues au lieu de 2. 

Au-delà d’un certain âge chez l’enfant, la trottinette idéale change sensiblement, ce qui peut vous amener à devoir acheter un nouveau modèle. Heureusement, il existe une solution pour pallier ce problème : la trottinette évolutive. Adaptée aux tout-petits, cette dernière peut accompagner votre bambin jusqu’à ses 5 ou 6 ans. Vous voulez passer de 3 à 2 roues ? Rien de plus simple avec ce type de produit !

Choisir une trottinette en fonction des critères de sécurité

Évidemment, si l’âge de l’enfant reste un critère incontournable, sa sécurité ne se limite pas à ce seul élément. En effet, le poids et la taille peuvent jouer un rôle conséquent, ce qui doit vous amener à être très vigilant. Si à ce sujet, votre enfant sort des sentiers battus pour son âge, vous allez devoir être un peu plus méticuleux dans le choix de votre trottinette. Par exemple, chaque modèle est conçu pour supporter un poids maximum. Cela signifie que si votre enfant de 3 ans est au-dessus de la courbe « normale » d’un bambin de cet âge, la trottinette de sa tranche peut s’avérer inadéquate.

Enfin, n’oubliez pas de tenir compte de l’usage qui sera fait de la trottinette. Effectivement, tous les modèles ne sont pas polyvalents. Si certains correspondent plus à des sorties en extérieur, sur tous types de terrain, d’autres se prêtent plus à des surfaces lisses et plates.